www.fantaisia-foa.com

www.fantaisia-foa.com

PIERRES & BIEN-ÊTRE : LES VOYELLES

 

 

Fleur.jpg 

 

 

Bonjour à toutes et à tous !

Après cette belle balade dans les colliers Nature de la gamme Audace, et leurs consonnes que nous avons bien pris le temps de goûter, à l'invitation de notre créatrice préférée, Fabienne F., je vous propose de démarrer un nouveau voyage, avec les colliers Goutte de la Collection Splendeur, qui nous emmèneront cette fois au pays des voyelles. Mais avant de replonger dans l'alphabet, je vous propose de commencer par nous arrêter sur leur pierre signature : la calcite.

De formule chimique CaCO3, c'est là un minéral des plus fréquents... mais loin d'être sans surprise ! Jugez plutôt :

Figurez-vous que pas moins de 2544 formes de calcite différentes ont été répertoriées par le cristallo-chimiste norvégien Voctor Goldschmidt au début du XXème siècle ! Depuis la forme terreuse, que vous connaissez comme la craie de nos salles de classe ou des magnifiques falaises normandes, jusqu'aux plus beaux cristaux... en passant par la forme "fibreuse" des stalactites ou la forme "saccharoïde" du marbre... Malheureusement pour Victor Goldschmidt, un an à peine avant la publication du premier volume de l'atlas qu'il entendait consacrer à ce minéral, des savants allemands découvrirent la diffraction des rayons X par les cristaux, et son intérêt pour explorer leur structure à l'échelle microscopique... Le temps de la cristallographie descriptive était passé, et s'ouvrait un nouveau champ de la science non moins fascinant... [1]

Mais ce que je trouve le plus étonnant dans ce minéral est sa grande biréfringence. De l'avoir "vu de mes yeux vu !", j'en reste encore marquée... Cette propriété optique est liée aux caractère anisotrope des cristaux. "Anisotrope" veut dire que les propriétés des cristaux dépendent des directions dans l'espace : suivant vers où vous regardez, il ne se passe pas la même chose. Dans le cas de la biréfringence, cela se traduit par le fait que, suivant sa polarisation, la lumière ne se propagera pas de la même manière dans le cristal. Concrètement, elle ne sortira pas "dans le même état" du cristal. Bilan : pour des minéraux comme la calcite, et le phénomène est particulièrement marqué pour ce minéral - vous envoyez un rayon lumineux sur le cristal... et il en sort deux ! Comme sur l'image dans l'illustration (plus bas, en bas à droite) où un cristal de calcite a été déposé sur un texte. Résultat : le texte apparaît en double... Plus surprenant encore, la polarisation des deux faisceaux ne sera pas la même... Si vous mettez des verres polarisants (comme on peut en trouver pour certaines lunettes de soleil), suivant comment vous tournez la tête, vous verrez un faisceau, l'autre faisceau, ou les deux mais avec une intensité plus faible...




Dans les colliers Goutte, la calcite se présente toute en douceur, se mariant ainsi à merveille aux perles, le tout rehaussé par les cristaux Swarovski. Quant au nom... Avez-vous repéré d'où venait le nom de ces colliers ? Regardez donc vers le tour de cou (https://www.pearlspommes.com/fr/colliers/1636-goutte-a2.html)....

[1] Je voue une admiration sans bornes à certains cristallographes de cette ère descriptive, qui, par leur observation patiente, arrivèrent à des conclusions qui restent totalement pertinentes encore maintenant pour décrire ces objets fascinants que sont les cristaux ! Comme un Auguste Bravais qui, s'appuyant sur le travail de ses illustres prédécesseurs, dont le père René-Just Haüy, arriva à la conclusion que les cristaux étaient formés par la répétition de petites "briques", ce que nous appelons maintenant la maille cristalline...

 

 

 




 

 

 

 

Bonjour à toutes et à tous,

La présentation de la pierre au centre des colliers Goutte ayant été faite, voilà venu le temps de nous attaquer à la lettre A ! Et si vous en profitiez pour aller visiter Goutte A2 (https://www.pearlspommes.com/fr/colliers/1636-goutte-a2.html) ?

Les deux premiers mots que j'ai retenus ne vous étonneront guère, tant ils sont attendus avec cette voyelle...

A, donc, comme... Amitié !

"Qu'un ami véritable est une douce chose", disait Jean de La Fontaine...

Et cette douceur joyeuse, nous sommes nombreux à l'éprouver... Joie du partage des moments heureux... Soutien mutuel dans les épreuves... Superbe école de l'attention et de l'amour...

Mais peut-être êtes-vous moins au fait des bienfaits physiques de l'amitié ? En tout cas, un certain nombre m'ont bien surprise ! Comme le fait que l'amitié augmentait la tolérance à la douleur. Est-ce pour cela que, lorsque nous pratiquons un sport avec des amis, nous nous dépassons plus ? L'amitié favoriserait la récupération de l'organisme après de lourdes interventions chirurgicales ! Et avoir au moins 10 amis ou proches diviserait par 4 le risque de décéder d'un cancer du sein !!! Sans compter que l'amitié ralentit le vieillissement du cerveau et augmente l'espérance de vie...

Evidemment, après ce démarrage, ne pouvait que suivre :
 
A comme... Amour !

https://www.youtube.com/watch?v=Z3Y6g4beKJc

Stimulant la production de trois hormones intervenant dans le bonheur, l'attachement et le plaisir (la phényléthylamine, l'ocytocine et la dopamine), l'amour serait ainsi un antidépresseur naturel. Par ailleurs, en favorisant l'optimisme, il contribue à stimuler l'immunité, et, en ces temps de pandémie, ça ne peut être que bienvenu !

Je ne vous cache pas que j'ai eu un peu de mal dans ma recherche pour ce paragraphe, la plupart n'ayant qu'une approche purement physique du terme... Et guère ne considèrent l'Amour-Agapê et la Paix qui l'accompagne...

Enfin, peut-être moins attendu et plus sérieux, mais non moins essentiel en ces temps troublés...

A comme.. Adaptabilité ! [1]

En effet, le lien est établi entre les capacités d'adaptation d'une personne, sa santé physique, mentale et psychologique, son degré de résilience et son épanouissement. Ainsi, une adaptabilité trop limitée diminue l'aptitude à résoudre les problèmes qui se présentent à nous, et, du coup, à prendre les bonnes décisions au bon moment... Ce qui ne peut qu'augmenter le stress, dans une sorte de cercle vicieux, et son cortège de méfaits pour notre bien-être et notre santé, surtout lorsqu'il perdure...

Divers facteurs influencent notre adaptabilité : notre expérience depuis l'enfance, nos attentes, nos valeurs, nos croyances, mais également notre environnement, dont les soutiens dont nous pouvons bénéficier. Tous ces facteurs jouent sur la façon dont les stimuli internes et externes sont interprétés, à travers un processus émotionnel dont la réponse pourra aller de la douleur au plaisir. Le problème est que suivant cette réponse, l'action qui suivra ne sera pas forcément adaptée... Un problème de gestion des émotions peut ainsi entraîner des comportements inefficaces face aux problèmes qui se posent à vous...

La bonne nouvelle est qu'il est possible de travailler à augmenter ses capacités d'adaptation et de résilience. Le point le plus important que j'ai noté est l'importance d'une hygiène cognitive quotidienne, au même titre que nous avons une hygiène corporelle ou dentaire. Cela passe par :
- apprendre à reconnaître ses émotions, et développer ainsi une intelligence émotionnelle ;
- apprendre à gérer les pensées négatives, en refusant de s'y enfermer, et en essayant de développer un discours intérieur positif.
La pratique de la pleine conscience et de la gratitude sont aussi de bons moyens de booster notre adaptabilité, ainsi que la tenue d'un journal qui peut nous aider à mettre de la distance par rapport à ce que nous avons vécu. N'oublions pas les conseils habituels d'une bonne alimentation, de veiller à son sommeil, et de prendre le temps d'une activité physique...

Enfin, dans le contexte actuel qui nous malmène quelque peu, j'oserai aussi :

A comme.... Abandon....

Avec cette belle prière :

Seigneur,
donne-moi la grâce d'accepter avec sérénité les choses qui ne peuvent pas être changées,
le courage de changer celles qui devraient l'être,
et la sagesse pour les distinguer l'une de l'autre...

Une fleur pour aujourd'hui ? L'agapanthe, pour le nom et la beauté de la fleur :


Et comme destination, ce pays à l'histoire bousculée : l'Afrique du Sud !


[1] Je me suis appuyée sur un article parlant d'adaptabilité dans le monde du travail :
https://www.morneaushepell.com/permafiles/88881/developpement-des-capacites-dadaptation-et-de-la-resilience-des-employes-une-bonne-affaire-pour-les.pdf

 

 

 




 

 

 

 

Bonjour à toutes et à tous !

Que je suis heureuse d'avoir à vous parler aujourd'hui de la lettre E, et de vous inviter ainsi à partir à la découverte de Goutte E2 (https://www.pearlspommes.com/fr/colliers/1637-goutte-e2.html?search_query=goutte+E&results=70) ! Il y a tant de mots inspirants en E... C'était bien évidemment aussi le cas de la voyelle précédente, mais aujourd'hui un mot résonne particulièrement fort.

E comme... Emerveillement !!!

Comme un art de cultiver l'admiration au quotidien : accepter de s'éveiller à la beauté de ce qui nous entoure, la reconnaître, l'accueillir et la goûter...

Selon le philosophe Bertrand Vergely, "s'émerveiller, c'est décider d'arrêter d'être inquiet et jouir de ce qui vient avec gratitude". [1]

Alors que le petit enfant a une capacité naturelle à l'émerveillement, en grandissant nous pouvons facilement la perdre... et l'émerveillement est alors à cultiver.

Pour cela, Edouard de Perrot nous propose une première piste, le lâcher-prise : "s'émerveiller, c'est accepter de ne pas tout comprendre, et laisser les choses s'éclairer plutôt que vouloir les expliquer". Ce qui implique un minimum d'humilité, et de renoncer à prétendre tout maitriser... Renouer avec un chemin d'abandon... Un des articles où j'ai puisé les éléments de ce post disait plus loin " Ce qui nous fait sentir petit nous grandit". Cela ne manquera pas de rappeler au croyant cette parole de l'Evangile selon Saint Matthieu (18,3-4) : "En vérité, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux. Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le Royaume des Cieux." Ou encore, dans ce grand élan d'émerveillement : "Jusqu'aux cieux ta splendeur est chantée par la bouche des enfants, des tout-petits ; rempart que tu opposes à l'adversaire, où l'ennemi se brise en sa révolte." (Psaume 8).

Christophe André nous alerte sur un autre points : l'importance de veiller à notre disponibilité mentale, pour "garder une part de curiosité et une fraicheur toujours renouvelée sur ce que nous pensons connaître et maîtriser". Là encore, renoncer à une part d'orgueil, pour choisir un chemin d'enfance. Notre responsabilité y est engagée (l'appel à veiller), et c'est assurément encore plus important en ce deuxième confinement et son lot d'incertitudes, la pression mentale qu'il peut induire, et les conséquences pour notre santé qui n'est pas seulement pulmonaire...

Il suffit de peu pour retrouver le chemin de l'émerveillement. Accepter de renouveler le lien avec nos cinq sens... Honnêtement, cela ne vous est jamais arrivé de sortir tellement préoccupé que vous ne remarquez même pas qu'il fait beau ? Et pourtant, combien elle est belle la lumière de ce soleil d'automne dans les arbres aux milles couleurs... Ou cette petite fleur qui s'est frayé un chemin à travers le bitume... Tel paysage, tel envol d'oiseaux migrateurs... Sans parler des merveilles que vous pouvez découvrir sur le site Pearlspommes.com...

S'il ne vous suffisait pas de l'avoir expérimenté, et d'avoir goûté combien l'émerveillement diminue - voire annihile - l'effet du stress, augmente notre sentiment de satisfaction et le désir d'altruisme, écoutez ce qu'en disent encore les scientifiques : Outre le fait qu'il favorise les comportements pro-sociaux, l'émerveillement diminue l'inflammation et stimule le système immunitaire, via l'interleukine-6, au même titre que la joie et l'amour. De plus, il favoriserait la mémorisation.

Pour finir, si tout cela ne suffisait pas, voici quelques autres pistes pour nous aider ou aider nos enfants à renouer avec l'émerveillement [2] :
- Présenter son visage au soleil avant d'entrer dans un endroit.
- Faire des dégustations d'aliments inconnus et savourer en pleine conscience chacun d'eux.
- Applaudir le succès d'un ami, s'émerveiller du dépassement de soi et des prouesses d'autrui. Admirer leurs forces et vertus particulières.
- Découvrir un oeuvre d'art par jour.
- Lire des contes et des textes inspirants [3].

Sur ce point, la lettre E m'ayant également rappelé l'adjectif "ébréché", car nous avons aussi nos cassures, nos félures, je vous propose ce conte, dont l'auteur reste inconnu, mais qui résonne bien avec le propos de ce jour :

En Chine, un porteur d'eau possédait deux grosses cruches, chacune d'elle pendante aux extrémités d'une solide perche qu'il portait sur ses épaules. L'une des cruches était fêlée, tandis que l'autre était parfaite et livrait toujours une pleine portion d'eau. A la fin de la longue marche du ruisseau à la maison, la cruche fêlée arrivait toujours à moitié pleine. Tout se passa ainsi, jour après jour, pendant deux années entières, où le porteur livrait seulement une cruche et demi d'eau à sa maison.
Evidemment, la cruche qui était sans faille se montrait très fière de son travail parfaitement accompli. Mais la pauvre cruche fêlée était honteuse de son imperfection, et misérable du fait qu'elle ne pouvait accomplir que la moitié de ce qu'elle était supposée produire.
Après ces deux années de ce qu'elle percevait comme étant une faillite totale de sa part, un jour, près du ruisseau, elle s'adressa au porteur d'eau : "J'ai honte de moi-même, et à cause de cette fêlure à mon côté qui laisse fuir l'eau tout au long du parcours lors du parcours lors de notre retour à votre demeure."
Le porteur s'adressa à la cruche : "As-tu remarqué qu'il y avait des fleurs seulement de ton côté du sentier, et non sur le côté de l'autre cruche ? C'est que j'ai toujours été conscient de ta fêlure. J'ai planté des semences de belles fleurs seulement de ton côté du sentier, et chaque jour, durant notre retour, tu les as arrosées. Durant ces deux années, j'ai pu cueillir ces jolies fleurs pour décorer notre table. Si tu n'avais pas été comme tu l'es, nous n'aurions jamais eu cette beauté qui a égayé notre maison.


En guise de fleur du jour ? Ce sera l'euphorbe maritime !


Et délaissant les destinations très lointaines, aujourd'hui je vous emmènerai à l'Ile d'Elbe...


[1] "Retour à l'émerveillement", Bertrand Vergely, Ed. Albin Michel.
[2] "Eduquer les enfants avec la psychologie positive", Julie Bazinet, Ed. Jouvence.
[3] Goûtez aussi cet autre conte, de Malek Boukerchi (Le laboratoire du bonheur) :

Un puissant seigneur, extrêmement riche et un pauvre paysan avaient chacun un fils. Le puissant seigneur monta avec son fils en haut d'une montagne, lui montra avec fierté le paysage en contrebas et lui dit avec engouement :
- Regarde, mon fils ! Un jour, tout cela sera à toi, le jour de ta succession !
Le fils ressentit alors une grande exaltation, une ivresse de puissance, un bonheur intense. Mais, tandis qu'il redescendait doucement de la montage, sa joie fut perturbée par des pensées de peur, de crainte : et si mon père changeait d'avis . et si des intrigants prenaient le pouvoir ? et s'il disparaissait le lendemain sans qu'il ait eu le temps de lui transmettre la charge ? et si... ?
Le paysan pauvre monta avec son fils sur l'autre versant de la même montage, au même moment. Il lui montra le même paysage et lui dit avec amour :
- Regarde, mon fils ! Regarde !
Le fils resta là, attentif aux sons, aux odeurs, aux couleurs, aux images... Et il s'imprégna de la majesté du monde, le coeur rempli de joie...

 

 

 




 

 

 

 

Bonjour à tous,

Il est des mots qui débordent et pour les quels une semaine ne saurait suffire... Il en est ainsi de la lettre E... Alors, une fois n'est pas coutume, je vous propose de rester une deuxième semaine sur cette lettre et son cortège de jolis mots !

Toujours E, donc, comme... Ecoute !

Et il ne s'agira pas seulement ici d'une pleine conscience des sons, avec tous les bienfaits de la pleine conscience que j'ai déjà eu l'occasion de mentionner. Pas plus que de l'écoute du silence de notre coeur, dans la prière, l'écoute de "la source qui te parle d'aimer", comme le dit ce si beau chant (https://www.youtube.com/watch?v=7ekg4tss5Ao)... Mais de l'écoute comme une attention et un soin à ceux qui nous entourent, qui peut être parfois une véritable oeuvre de miséricorde ! Mais aussi un chemin pour grandir ensemble... Et les bienfaits d'une écoute attentive ne manquent pas.

Pour celui qui est écouté, c'est un cadeau inestimable de trouver un lieu où exprimer son vécu, trouver un soutien et pouvoir mettre un peu plus à distance les expériences douloureuses. L'effet physique est clair, avec une diminution du stress, observable par un ralentissement du rythme cardiaque. L'écoute participe alors à l'augmentation de la confiance en soi, et aide à gérer les crises - voire à les anticiper-, participant ainsi à augmenter l'adaptabilité si importante ces derniers temps.

Pour celui qui écoute, par delà les bienfaits d'un ancrage dans le moment présent, il s'agit de s'entrainer à une écoute attentive et bienveillante. En se concentrant uniquement sur l'interlocuteur, reformulant (et demandant le cas échéant confirmation de ce qui a été entendu), sans jamais juger. Accueillir les émotions, les sentiments, les actes et les pensées de celui que nous écoutons. Nous sommes ainsi invités à développer notre empathie - encore un joli mot en E -, et à conserver une ouverture d'esprit.

La bonne nouvelle est que cette écoute peut se travailler, et nous y sommes invités dans notre quotidien. Pour le mieux être de tous.


Rien que ces mots d'écoute et d'empathie étaient une invitation à poursuivre ma déclinaison de la lettre E. Mais voilà que, peu à peu, un autre mot a pris une importance de plus en plus grande, mot essentiel en cette entrée en Avent et dans les temps difficiles qui sont les nôtres, et qui pourraient nous pousser à une forme de désespérance ou de découragement :

E comme... Espérance !

Face à ce mot un peu trop grand pour moi, pardonnez-moi de reprendre ici quelques points d'une homélie de Mgr Rey entendus jeudi dernier [1]. J'y ai trouvé une forme de "clin-Dieu", alors que le mot Espérance était en gestation pour cette chronique.

Mgr Rey a commencé par souligner la différence entre espérance et espoir. Là où l'espoir nous invite à l'attente d'une consolation passagère, l'espérance nous invite à l'attente de La Consolation, en un Dieu qui vient à nous : attendre Dieu et s'attendre à Dieu ! Pour cela, il nous faut redécouvrir l'enfant qui sommeille en nous. Car l'enfant incarne l'espérance, en ce qu'il attend l'inattendu en toute confiance. Il nous faut donc renouer avec l'esprit d'enfance. Ce qui n'est pas sans lien avec la culture de l'émerveillement que j'avais évoquée la semaine dernière.

Pour le chrétien, l'espérance est une vertu théologale, qui trouve son fondement en deux évènements : la venue de Dieu-Emmanuel en un Enfant, attente que nous célébrons tout particulièrement depuis ce dimanche, et la Résurrection du Christ, marquant la victoire définitive sur la mort.

Mgr Rey soulignait aussi que "rencontrer Jésus, c'est rencontrer l'espérance", parce que Dieu ne désespère jamais de nous-mêmes. Et lorsque nous enchainons parfois chute après chute, c'est bon de se le rappeler (même si ce n'est pas une raison pour viser les chausse-trappes de notre vie non plus...). Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus ne disait-elle pas que "si elle avait commis tous les crimes possibles, elle garderait la même confiance, parce que cette multitude d'offenses ne serait qu'une goutte d'eau dans un brasier ardent" ? [2]

Un point particulier noté dans cette homélie a été "l'espérance comme une tâche à déployer". Comme une invitation à surmonter les tentations de désespoir, en cherchant la lumière malgré la nuit : l'oeil qui s'accoutume à l'obscurité ne finit-il pas par percevoir le scintillement des étoiles dans le ciel ? Ainsi sommes-nous invités tout particulièrement en ce temps de l'Avent à guetter une Etoile, l'Etoile de Bethléem...

Enfin, pour nous aider à "espérer ce que nous ne voyons pas" et "attendre avec persévérance(Rm 8,24), nous pouvons compter sur l'aide de la Vierge Marie, elle qui a été Mère de l'Espérance jusqu'au pied de la Croix...


Pour le coup, exceptionnellement, vous aurez droit à une deuxième fleur en E. Et j'avoue que je n'ai pu résister aujourd'hui encore à une fleur un peu rustique que vous pourrez trouver aussi bien à la campagne qu'en basse montagne : l'épilobe.


Et je vous emmènerai vers un des berceaux de l'humanité, pays où le christianisme s'est développé dès le premier siècle de notre ère, mais qui défraie si tristement l'actualité ces derniers temps ? L'avez-vous reconnu ? Partons en Ethiopie !


[1] https://www.youtube.com/watch?v=v7ua67iT-IE

[2] https://www.youtube.com/watch?v=U6a_yYXuD_M

 

 

 




 

 

 

 

Bonjour à toutes et à tous !

Nous voilà donc arrivés à la voyelle I, et, honnêtement, heureusement qu'il y a le magnifique collier Goutte I2 (https://www.pearlspommes.com/fr/colliers/1639-goutte-i2.html)... Parce que, derrière cette voyelle des plus usuelles, s'est caché un des pire challenge pour votre chroniqueuse.

La faute au préfixe latin in, qui, lorsqu'il ne signifie pas "en", introduit une connotation des plus négatives dans le mot, à de rares exceptions près. Ouvrez donc votre dictionnaire et constatez ! Certes, quelques fois un joli mot sortira, comme "inattendu" et son invitation à garder le coeur ouvert, ou "inépuisable" à condition de l'appliquer à la bonne Source...

Je le concède, il n'y a pas que des mots négatifs ou très scientifiques en I. Mais, j'ai beau faire, "intelligent" et "initiative" me renvoient plus au monde du travail qu'à celui du bien-être...

N'allez pas croire toutefois que votre chroniqueuse a fini par jeter l'éponge ! La preuve :

I comme... Iambe !!!

Permettez moi de vous en rappeler la définition : il s'agit, en poésie grecque, d'un pied à deux syllabes, composé d'une première syllabe brève suivie d'une deuxième plus longue.

Iambe, donc, comme une invitation à aller chercher de la beauté et du rêve dans les poésies qui charmeront le plus votre coeur. Il y en a pour tous les goûts, depuis les grandes envolées lyriques jusqu'à des poèmes tout pleins d'humour et de tendresse. En voilà un de Maurice Carême, délicieusement mis en musique par Francis Poulenc dans le cycle de la Courte Paille :

Une puce dans sa voiture,
Tirait un petit éléphant
En regardant les devantures
Où scintillaient les diamants.
Mon Dieu ! Mon Dieur !
Quelle aventure !
Qui va me croire, s'il m'entend ?
L'éléphanteau, d'un air absent,
Suçait un pot de confiture.
Mais la puce n'en avait cure,
Elle tirait en souriant.
Mon Dieu ! Mon Dieu !
Que cela dure !
Et je vais me croire dément !
Soudain, le long d'une clôture,
La puce fondit dans le vent.
Et je vis le jeune éléphant
Se sauver en fendant les murs.
Mon Dieu ! Mon Dieu !
La chose est sûre,
Mais comment le dire à maman ?

Voilà la version du cycle de Poulenc, par une grande dame, Felicity Lott :
https://www.youtube.com/watch?v=dY0z61b36VQ

I comme... Illuminations...

Comme ces illuminations qui s'installent dans nos villes et villages à l'approche de Noël. Laisserons-nous nos yeux s'émerveiller à les contempler cette année ? Il ne s'agirait pas que la sinistrose ambiante et les incertitudes pesant sur la manière dont nous pourrons passer les fêtes nous volent ces moments...



I, enfin, comme... Imaginaire et Imagination !

Pas la peine de partir très loin. Il peut suffire de nous remémorer des moments heureux avec des amis ou dans la nature, visualiser la scène telle qu'elle a été vécue, pour qu'une sensation de bien-être s'installe aussitôt !

En faisant les recherches pour cette chronique, j'ai découvert que, ce que nous pratiquons naturellement, a été qualifié "d'état hypnotique naturel et physiologique".

Pratiquer cette forme d'auto hypnose permet de réduire l'hypertension artérielle, le stress, les insomnies, et même la douleur et les effets secondaires des traitements lourds. Ces effets bénéfiques ont été objectivés par l'imagerie médicale : lorsque la personne se place dans cet état, les zones habituellement liées à la douleur n'apparaissent plus à l'écran. Par ailleurs, cela pourrait participer à la régénération du cerveau, permettant d'augmenter l'autonomie des patients après des AVC. Pour obtenir ces bienfaits sur le corps, il est important que l'imagination aille jusqu'aux sensations corporelles.

Attention toutefois à ne pas vous projeter dans n'importe quel imaginaire, si vous ne voulez pas risquer des retours à la réalité quelque peu difficiles. Se projeter dans un monde totalement irréel où toutes vos difficultés se seraient envolées n'est pas toujours la meilleure idée...

Pour la fleur du jour ? Que diriez-vous de l'immortelle vivace ?



Et je vous proposerais bien de partir aujourd'hui dans un pays de glace et de feu : l'Islande !

 




 

 

 

Bonjour à toutes et à tous,

En ce premier jour de l'hiver, je vous propose d'explorer la voyelle O en l'honneur de Goutte O2 (https://www.pearlspommes.com/fr/colliers/1638-goutte-o2.html).

Dès mes premières méditations concernant O et le bien-être s'est imposé un mot :

O comme... Obéissance !

Si l'on considère les premiers synonymes proposés par le Petit Robert : "soumission, subordination", le lien avec le bien-être n'est pas le plus intuitif... Encore moins dans une société hyper permissive qui se masque ses esclavages volontaire, quand il s'agit d'obéir à la pression sociale, sous l'effet des médias ou des réseaux sociaux, quand ce n'est pas juste celle de ceux qui nous entourent (vous savez, quand il s'agit d'avoir le dernier gadget à la mode...).

L'obéissance dont je veux vous parler est d'abord une obéissance aux évènements que nous avons à affronter, ce qui n'exclue pas, loin de là, une obéissance aux hommes, lorsque ce qui nous est demandé est juste. N'obéissons nous pas aux lois, à notre médecin... Dans son exhortation sur la lutte contre l'orgueil [1], le père Pascal Ide nous invite à "voir toutes choses comme issues de la main de Dieu".

Oui, comme nous y invite l'étymologie du mot, de ob - pour indiquer une notion de vis-à-vis -, et audire - écouter -, il s'agit là d'ouvrir nos yeux et nos oreilles pour reconnaître les signes des temps, et consentir à ce que nous ne pouvons pas changer, ce qui n'est pas sans rappeler une part de la prière de la sérénité. L'obéissance devient alors une forme d'abandon, et abandon et lâcher prise font partie des stratégies de lutte contre le stress et la sinistrose.

Obéir, aussi, comme un sacrifice volontaire et joyeux de notre volonté propre, comme une préparation au refus de laisser notre désir devenir tout puissant, ce qui ne pourrait souvent se faire que aux dépens de ceux qui nous entourent et de la création.

Car il ne s'agit pas d'obéir par contrainte. Saint Grégoire le dit bien : "On doit pratiquer l'obéissance non par crainte servile, mais par charité ; non par crainte du châtiment, mais par amour de la justice". Alors, "l'obéissance vaut mieux que tous les sacrifices" (1S15,22), et "(elle) est la seule vertu qui introduit dans l'âme les autres vertus et ensuite les y garde" (Saint Grégoire). Et, que ce soient les vertus, la justice ou l'amour, tout cela contribue à un mieux vivre ensemble, plus sagement, et, par conséquent, à plus de bien-être social !

Laissons Saint Thomas d'Aquin conclure [2]. "L'obéissance est une vertu morale puisqu'elle est une partie de la justice et qu'elle vient au milieu entre l'excès et le défaut". Et, "si Dieu a laissé l'homme au pouvoir de son propre conseil, ce n'est pas pour lui permettre de faire ce qu'il veut. C'est parce qu'il n'est pas contraint à faire ce qu'il doit par une nécessité de nature, comme les créatures irrationnelles, mais par un libre choix procédant de son conseil, selon les paroles de Saint Grégoire : Nous soumettre humblement à la voix d'un autre, c'est nous élever intérieurement au-dessus de nous mêmes."

Comme fleur du jour, je vous propose une fleur que j'aime tant, mais qui me confronte à un principe de réalité : qu'elle ne s'épanouit pas chez moi...  L'orchidée !



Et, pour notre destination du jour, j'ai renoncé à un pays en O : Le mot "oasis" désignant, lorsqu'il est employé au sens figuré, "un lieu ou un moment reposant, une chose agréable qui fait figure d'exception dans un milieu hostile", en ce premier jour de l'hiver et dans le contexte hostile de la pandémie, je vous propose un grand bain de soleil et de fraicheur dans une petite oasis de montagne, au sud de la Tunisie, pas très loin de la frontière algérienne, dont je garde un souvenir émerveillé : l'oasis de Chebika.



[1] Dans "Les 7 péchés capitaux ou ce mal qui nous tient tête", Pascal Ide avec la collaboration de Luc Adrian, Mame-Edifa.
[2] J'ai puisé une part d'éléments de la question 104 de la Somme Théologique, portant sur l'obéissance. Que je n'ai pu que survoler très partiellement, tant le texte est dense et donne à méditer...

 

 

 




 

 

 

Bonjour à toutes et à tous !

Tout d'abord, Noël se fêtant 8 jours, il est encore temps de vous souhaiter un joyeux Noël dans ces pages !

Il n'y a pas que la fin de l'année qui approche. Celle de l'alphabet dans ces pages aussi, et nous voilà déjà à la voyelle U, après avoir décliné toutes les consonnes... Et si vous en profitiez pour visiter le magnifique collier Goute U2 ? (https://www.pearlspommes.com/fr/colliers/1640-goutte-u2.html)

Afin de fêter la lettre U, je vous proposerai une déclinaison en trois étapes, en commençant par l'essentiel :

U comme... Unité !

La Bible regorge d'exhortations pour que nous travaillions à être toujours plus unis, tous comme d'avertissements contre la division : "Tout royaume divisé contre lui-même devient un désert ; toute ville ou maison divisée contre elle-même sera incapable de tenir." (Mt12,25). Quand Saint Paul nous exhorte : "Ayez soin de garder l'unité dans l'Esprit par le lien de la paix." (Eph, 4,3).

Nous pouvons tous faire l'expérience que, lorsque nous vivons dans l'unité avec ceux qui nous entourent, il en résulte un bien-être social pour tous. Et que les divisions n'apportent que tristesse et regrets... De quoi nous inciter à oeuvrer toujours plus pour la paix entre nous, à travailler la compréhension mutuelle, car unité ne veut pas dire uniformité. Car la diversité des tempéraments, talents... contribue à la beauté de la création comme toutes les lumières d'un kaléidoscope, qui serait bien terne si une seule couleur devait s'imposer...

Cette exhortation est sans doute particulièrement d'actualité. Ne voyons nous pas comment le contexte sanitaire et les conséquences économiques et sociales qu'il entraine peuvent nous pousser à des convictions fortes... au risque d'être clivantes ? Ne voyons nous pas des familles se brisant sur ces certitudes de détenir chacun "la vérité...

A l'inverse, un témoignage de chef de choeur m'a particulièrement marquée, il n'y a pas si longtemps. Il ne pouvait que constater que, au sein de la chorale, régnaient des opinions fortes et très divergentes (sur les masques, le confinement, l'interdiction des répétitions...). Lui-même avait ses propres convictions très fortes. Néanmoins, son souci était de faire son maximum pour que l'unité entre tous perdure ; que le trésor de cette chorale ne soit pas perdu, à savoir la joie de ses chanteurs à se retrouver dans l'harmonie et la bienveillance !

U comme... Uvéal !

Celui-là, j'ai quand même dû le chercher... Uvéal est un adjectif qui signifie "qui a rapport au raisin". Occasion de souligner les bienfaits de ce fruit à faible indice glycémique :

Par les nutriments qu'il apport, il augmente l'élasticité des vaisseaux sanguins, et réduit le mauvais cholestérol au profit du bon cholestérol. Ainsi, il permet de réduire la tension artérielle et les risques de maladies cardio-vasculaires.
Par ailleurs, des études sur l'animal ont montré que la consommation de jus de raison améliore la mémoire et les capacités motrices. Ce qui suggère une amélioration des fonctions cognitives.
Enfin, il renferme de nombreux composés phénoliques très antioxidants (bon pour prévenir le cancer), et contient plein de manganèse, et de vitamines B2, B6 et C. Consommé sec, ce sera une bonne source de fer et de potassium.

Enfin, U comme... Uranie !

L'uranie est un magnifique papillon qui se trouve en Amérique du Sud et dans les Caraïbes. Invitation à contempler les merveilles de la Création !



La fleur du jour sera l'utriculaire, une plante carnivore aquatique d'eau douce. La voici dans sa version vulgaris :



Et si nous partions en Uruguay, ce pays d'Amérique du Sud situé entre le Brésil et l'Argentine ?

 

 

 




 

 

 

Bonjour à toutes et à tous !

Bonne année 2021 !!!

Au moment d'aborder la dernière lettre de l'alphabet non encore apparue dans ces pages, pour chanter le collier Goutte Y2 (https://www.pearlspommes.com/fr/colliers/1641-goutte-y2.html), je craignais un peu le pire : n'avez vous jamais eu quelques sueurs froides en piochant le Y dans une partie de scrabble ? Et encore, au scrabble, vous pouvez l'employer un peu partout dans le mot... C'était sans compter quelques clins d'oeil en cours de route. Alors, voilà une déclinaison en 3,3 mots ! (non, pas de coquille, j'ai bien mis 3,3... ).

Tout d'abord, Y comme... Yaourt !

Saviez-vous que cet aliment a fait son apparition 7 ou 8 siècles avant Jésus-Christ ? Issu d'une fermentation naturelle du lait, il s'avère un excellent moyen de le conserver. Et il ne manque pas d'atouts pour nous maintenir en pleine santé :
Riche en protéines pour un faible indice glycémique, certes. Mais surtout riche en probiotiques, il alimente notre intestin en bonnes bactéries, qui aideront, entre autres, à digérer le lactose. "Entre autres", parce que les dernières années ont signalé de plus en plus l'importance du microbiote pour notre santé. Un microbiote altéré ne peut-il être cause d'obésité, comme l'ont montré des études sur des souris ? Et, par delà les aspects métaboliques, des scientifiques n'ont-ils pas parlé de l'intestin comme d'un deuxième cerveau ? Indice de l'importance pour notre santé de la coopération avec les bonnes bactéries qui se joue dans nos entrailles...
Côté protides, un apport essentiel : le tryptophane, précurseur de la sérotonine. Ce qui permet au yaourt d'être bon pour le sommeil, et de contribuer à soulager stress, anxiété et dépression. Sans compter la présence de vitamines du groupe B, elles aussi bonnes pour notre système nerveux...

Y comme Yass !

J'avoue que, hier encore, j'aurais écarquillé les yeux en entendant ce mot... Il s'agit d'un jeu de cartes d'origine hollandaise qui se joue à deux ou plus. Occasion de donner quelques bienfaits des jeux de société :
- développant le sens de l'observation, la logique et la mémoire...
- exerçant la motricité fine... pour s'en convaincre, il suffit d'observer un enfant cherchant à mélanger un paquet de cartes...
- apprenant à patienter, perdre et gagner...
Et qui renforcent les liens familiaux et amicaux...

Et, Y comme Yearling !

Il s'agit de chevaux pur-sang âgés d'un an. Occasion de décliner quelques bienfaits de l'équitation :
Sur le plan psychologique, le contact avec le cheval favorise la confiance en soi et la maitrise de soi. Autant d'éléments favorisant aussi une bonne socialisation. Il améliore également la concentration et les capacités d'attention.
Sur le plan physique, des effets manifestes sont observés sur le plan du sens de l'équilibre et de la motricité, une motricité fine étant nécessaire pour communiquer avec l'animal.
De plus, outre une activation de la circulation sanguine, le contact avec le cheval libère des endorphines, permettant de réduire le stress, et même de participer au traitement de dépressions sévères.
Autant d'éléments qui ont amené à développer l'usage du cheval dans certaines approches thérapeutiques.



Voilà pour trois mots. Et les 0,3 restant ? ben, ça sera pour trois mots que je ne développerai pas ici, mais qui ont malgré tout un lien avec le bien-être :
Yin et Yang comme une invitation à l'équilibre...
Yoga comme une invitation au sport...
Et... Ysopet !!! Au Moyen-Age, ce terme désigne un recueil de fables... Et j'ai déjà eu l'occasion de mentionner les bienfaits des contes et des fables dans ces pages...

La fleur du jour sera l'Ylang-ylang, une plante aux vertus sédatives, antiseptiques et hypotensives...



Et, pour terminer cette double série, consonnes avec les colliers Nature, puis voyelles avec les colliers Goutte, je vous emmènerai dans une des plus grands centres de la civilisation moyen-orientale, que les aléas politiques et de sécurité ont rendu difficile d'accès : le Yémen !


 



16/11/2020
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 107 autres membres